Michel Séguin : La transparence des prix est un sujet de préoccupation depuis au moins le premier mandat de Donald Trump. Une première ordonnance présidentielle de Trump sur la transparence des prix a été largement ignorée mais la deuxième ordonnance présidentielle de Donald Trump est sur le sujet. Il a été largement rapporté que la tarification des soins de santé était opaque, les négociations entre les prestataires, les assureurs et les sociétés pharmaceutiques se déroulant à huis clos indique une analyse. De nombreuses parties concernées se sont opposées aux efforts de transparence, arguant que la confidentialité était nécessaire pour maintenir des prix compétitifs. Mais les choses risquent de changer, le non-respect de ces pratiques tarifaires pourrait entraîner de lourdes amendes pour les hôpitaux, y compris des sanctions administratives. La Floride va renforcer l’application de la loi et imposer des amendes qui pourraient s’alourdir en cas de violations répétées.
Les hôpitaux et les assureurs qui ne respectent pas les exigences de transparence peuvent s’attendre à des audits plus agressifs et à des sanctions financières plus lourdes. Les dirigeants et les responsables en ce qui touche la conformité sont conscients du renforcement des contrôles concernant l’exactitude des données et les pratiques de divulgation. Tant que les prix sont restés secrets, les hôpitaux peuvent facturer ce qu’ils veulent et l’action du procureur général de Floride vise à protéger les patients en leur garantissant des prix réels et transparents. Les dettes médicales personnelles sont la raison pour laquelle les consommateurs, les défenseurs, les législateurs des États placent cette question au centre des débats pour la Floride. Mais la pratique répandue de la facturation surprise est devenue une véritable maladie c’est pourquoi que le décret présidentiel et les assignations à comparaître de la Floride sont les bienvenus.