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LE BUSINESS DES CHAUVES

Par Richard Johnson :À l’échelle mondiale, le business de la calvitie pèse 1,5 milliard de dollars. Les entrepreneurs redoublent d’ingéniosité pour convaincre les hommes de sortir leur carte de crédit pour régler leurs angoisses. Sur internet, on nous propose toutes les solutions imaginables promettant aux hommes de les sauver du désespoir lorsqu’ils se déplument : de la phytothérapie aux opérations chirurgicales, des mousses miracles aux perruques indécelables, en passant par les shampoings revitalisants et les sprays volumisants à base de nanofibres pour camoufler les zones clairsemées. On trouve tout. Et rien ne fonctionne vraiment. Une industrie brutale et rapace qui s’attaque à une clientèle vulnérable. En effet, une étude de 2005 menée dans cinq pays européens révélait que 43 % des hommes s’inquiétaient des effets de la calvitie sur leur attrait physique, 22 % craignaient qu’elles n’aient un impact sur leur vie sociale et 21 % l’associaient à des sentiments de dépression.

C’est quand même grave.  Selon l’Institut britannique de la santé et de l’excellence clinique, la calvitie touche 30 % des hommes de moins de 30 ans et 80 % des hommes de plus de 70 ans. La grande responsable serait une hormone, la dihydrotestostérone (DHT). La première conséquence est une raréfaction progressive du cheveu sur la couronne. La deuxième, bien plus importante, est notre réponse psychologique à ce phénomène. Pour un homme, c’est souvent terrible : le sentiment de perdre son charme physique, sa jeunesse, sa virilité, voire un sentiment d’émasculation. Les sages vous diront que le meilleur moyen de gérer sa calvitie est de l’accepter, mais rares sont les hommes en détresse qui y parviennent. Pour eux, le problème tient davantage à la chute de cheveux proprement dite qu’à la façon dont ils y réagissent.

Source- magazine Carrefour Floride :cliquez  : www.carrefourfloride.com


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