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Les climatologues n’auront nul choix un jour que d’ajouter la catégorie 6 sur la liste des ouragans possibles en Floride et ailleurs. Voici pourquoi

Par Michel Séguin : Bien qu’il n’existe officiellement aucune catégorie 6 pour les ouragans, les climatologues pensent qu’il serait temps d’en créer une supplémentaire en raison du changement climatique qui pourrait rendre les tempêtes plus intenses. Certaines données montrent en effet l’existence de tempêtes dont les vents sont suffisamment violents pour justifier une nouvelle catégorie. La catégorie 6 proposée concernerait les tempêtes dont les vents soutenus atteignent 192 mph ou plus, soit une augmentation par rapport au seuil actuel de la catégorie 5, qui est de 157 mph. Cependant, le Centre national des ouragans aux États-Unis hésite d’ajouter une catégorie 6 dans la liste et certains experts s’y opposent, soulignant que la vitesse du vent n’est pas le seul facteur déterminant pour une catastrophe. De plus, c’est que la catégorie 6 s’ajoutant au tableau quoique véritable et à la fois vérifiable pour certains climatologues risque de faire augmenter les primes d’assurance en devenant une moins-value justifiable pour les compagnies d’assurance. Car à 192 mph une tempête telle risque de rester dans les annales pour plusieurs années laissant ainsi des traces dont l’empreinte restera longtemps dans la mémoire pour bon nombre de victimes à laquelle tous redoutent. Toutefois même si certaines recherches suggèrent que le changement climatique est sujet à entrainer des tempêtes plus de plus violentes à l’horizon à l’échelle de Saffir-Simpson, rien n’impose pour l’instant d’en ajouter une de plus dans les catégories de 1 à 5  même si des tempêtes plus fortes et plus destructrices risquent de survenir un jour ou l’autre entre autres en Floride.

 

Sachant qu’une classification de catégorie 6 permettrait d’arrêter de cacher cette grande vérité concernant les effets du changement climatique et de mieux communiquer les dangers extrêmes associés à ces méga-tempêtes, ce qui est crucial pour la sécurité et la préparation du public. Mais actuellement le Centre national des ouragans n’a aucune intention d’introduire une catégorie 6 dans son échelle des ouragans dans l’Atlantique. Ces derniers s’appuyant sur des études qui suggèrent que plusieurs tempêtes pouvant être classées dans la catégorie hypothétique 6, avec des vents dépassant les 192 mph, se sont déjà produites et que malgré son intensité elle restera catégorie 5 en attendant que de tous s’entendent à l’échelle planétaire pour en créer une catégorie de plus « Saffir-Simpson». Toutefois les problèmes touchant l’Atlantique ne sont pas tout à fait les mêmes que dans l’océan pacifique avec les typhons.  Disons que les peuplades insulaires, vivant en bordure de la mer du Pacifique concernée par les enjeux de cette immense étendue d’eau en ce qui touche les différents problèmes liés à l’intensité des tempêtes qu’on remarque depuis quelques années,  ne voient pas la situation du même œil que du côté de l’Atlantique. C’est-à-dire des typhons doublés par l’élévation du niveau de la mer près des côtes avec des vents et des précipitations responsables de près de 80 % des décès liés aux cyclones dans le Pacifique. Apportant son lot de circonstances dramatiques et de dommages partout où ces cyclones passent en intensité n’étant pas prise en compte actuellement à l’échelle de Saffir-Simpson, que les prévisionnistes ne peuvent utiliser pour classer l’ampleur actuelle des tempêtes dans le Pacifique et qui joue un rôle clé dans la communication des risques liés aux tempêtes d’envergure au grand public. Certains experts ont déjà fait valoir que la menace des tempêtes n’est pas toujours correctement reflétée dans les catégories 1 à 5 de l’échelle dans le Pacifique. Ce qui laisse entendre que la catégorie 6 risque d’être tôt ou tard à nos portes et reconnue par tous !


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