Malgré la fin du shutdown, les retards de vols continueront de perturber le trafic aérien, car les contrôleurs aériens, surchargés de travail, doivent se remettre de six jours de travail consécutifs, tandis que ceux qui avaient démissionné en raison du stress et du manque de rémunération reprennent leur poste. La semaine dernière, l’Administration fédérale de l’aviation civile a ordonné une réduction des vols dans 40 grands aéroports du pays, notamment ceux d’Orlando, Miami, Fort Lauderdale et West Palm Beach, provoquant des milliers d’annulations et de retards. Les voyageurs bloqués se sont précipités pour trouver d’autres moyens de transport. Cela n’empêche toutefois pas certaines compagnies aériennes d’ajouter des vols supplémentaires et d’étendre leur présence en Floride.
Les tarifs aller simple d’Avelo commencent à 34 dollars, auxquels s’ajoutent des frais pour les bagages à main ou enregistrés, les sièges attribués et d’autres services et elle n’est pas la seule. JetBlue a annoncé la semaine dernière un nouveau service sans escale à l’aéroport de l’aéroport international John F. Kennedy de New York (JFK), à partir du mois de mars pour la Floride. Avelo exploitera ces liaisons à l’aide d’appareils Boeing Next-Generation 737, dont un nouveau modèle arrivera à Lakeland l’année prochaine. En 2027, Avelo deviendra la première compagnie aérienne américaine à exploiter des Embraer 195-E2, avec une commande pouvant atteindre 100 nouveaux appareils, selon le communiqué. Avelo a annoncé un nouveau vol quatre fois par semaine à l’aéroport international de Palm Beach (PBI).