
Par Michel Séguin : À l’époque où Montréal avait un vrai maire nous étions considérés comme une ville internationale avec tout ce qui ressemble à une ville internationale. Non pas concentrée seulement sur l’écologie en tentant de devenir la ville par excellence des pistes cyclables en Amérique du Nord n’attirant pas vraiment une horde de touristes venus de partout et de l’étranger afin de venir constater et étudier les progrès des relations entre les êtres humains et leur habitat en ce qui touche leur environnement comme étant une ville modèle à prendre en exemple comme l’Amsterdam du Canada si ce n’est de constater en réalité tout ce qui n’est pas vraiment représentatif à ce nous sommes maintenant en tant que Québécois à savoir tout ce qui nous avons plutôt perdu depuis les 60 dernières années à Montréal même le français. Telle la réputation acquise des francophones Nord-Américain reconnus pour aimer les sports Nord-Américain se faisant maintenant oublier comme une des villes qui étaient les plus remarquées au monde pour ses différents attraits sportifs avec les olympiques de 1976 n’ayant qu’à son bord un club de hockey et un club de Soccer faisant rire les gens de la villes de Toronto comme étant (Montréal) la ville écologiste la plus loser du Canada en terme de sport. Les Expos de Montréal ont été la première équipe de la MLB au Canada, devenant une équipe d’expansion en 1969. Les Expos représentaient bien plus que du baseball pour la ville de Montréal. Les Expos étaient la première équipe au Canada. Au cours de leurs 35 années à Montréal, les Expos avaient les allures de toutes bonnes équipes de baseball avec des hauts et des bas. L’équipe de 1994 regorgeait de talents, avec cinq joueurs All-Stars, dont trois figuraient parmi les 12 premiers au classement MVP.
Lorsque les joueurs se sont mis en grève en réponse à la proposition des propriétaires d’instaurer un plafond salarial, c’était pour permettre aux équipes des petits marchés de continuer à être compétitives, comme eux. L’équipe ne se doutait pas que ces discussions visaient à maintenir la pertinence des équipes des petits marchés, ce qui a causé la perte des Expos, et ce n’était que le début de la fin pour Montréal. Incapables de conserver leurs joueurs vedettes, les Expos ont été contraints de les vendre à d’autres équipes potentielles, le tout en l’espace de trois jours. Si la MLB a peut-être causé la disparition des Expos et forcé leur déménagement à Washington, D.C., elle a aujourd’hui une occasion unique de ramener les fans de tout le Québec pour voir à nouveau leurs Expos bien-aimés. Saviez que Montréal est aujourd’hui la 19e ville d’Amérique du Nord, avec une population métropolitaine d’environ 4,6 millions d’habitants. En dehors des villes mexicaines, c’est la seule ville de cette taille à ne pas avoir de franchise MLB. La population de Montréal semble enthousiaste à l’idée du retour des Expos à Montréal. Dans une étude réalisée par Ernst & Young (EY), près de 70 % des citoyens se sont déclarés favorables à ce retour. Et pour plusieurs, il n’y a pas de meilleur endroit pour le baseball que Montréal. Ce n’est un secret pour personne que Montréal est prise en considération dans les discussions sur l’expansion à venir. Pendant que les fans attendent patiemment, ils continueront d’espérer pouvoir remplir un tout nouveau stade pour célébrer à nouveau le jour de l’ouverture, avec le drapeau canadien et québéçois flottant au-dessus de leurs têtes. Et s’il le faut les joueurs se rendront au nouveau stade en Bicyclette en l’honneur du nouveau maire de Montréal











