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Voici les prévisions en ce qui touche la valeur du dollar canadien pour cet automne

Le dollar canadien a été tout sauf ennuyeux cette année. À l’approche de l’automne 2025, les traders, les entreprises et les voyageurs veulent tous savoir : quelle sera la prochaine évolution du dollar canadien avec monsieur Carney ? La réponse n’est pas simple. L’économie canadienne fait preuve à la fois de résilience et de faiblesse. Le PIB s’est contracté de 1,6 % en rythme annualisé au deuxième trimestre 2025, en raison de la chute des exportations et de la baisse des investissements des entreprises, mais les dépenses des ménages et le marché immobilier sont restés stables. Ces forces contradictoires empêchent le huard de se démarquer clairement. Il n’est toutefois pas en chute libre et résiste mieux que prévu. Force du dollar canadien ou faiblesse générale du dollar américain ? Même si cela peut heurter notre fierté collective de Canadiens, la principale raison pour laquelle le dollar canadien se maintient relativement bien est que le dollar américain est globalement plus faible par rapport à la plupart des devises. Le dollar américain a connu son pire premier semestre en 52 ans, chutant de plus de 10 % par rapport à ses homologues mondiaux rien qu’en juin. Pourtant, par rapport à des devises comme l’euro ou la livre sterling, les fluctuations du dollar canadien ont été assez modérées. La plupart des experts en devises s’attendent à ce que le dollar américain continue de s’affaiblir. L’un des facteurs qui aident actuellement le dollar canadien à se stabiliser est la politique en matière de taux d’intérêt.

La Banque du Canada est plus avancée dans son cycle de réduction des taux et devrait atteindre son niveau plancher plus tôt que la Réserve fédérale américaine, qui devrait réduire ses taux de manière plus spectaculaire. D’ici la fin de l’année, les taux canadiens pourraient se situer autour de 2,5 %, tandis que ceux de la Fed devraient avoisiner les 3,75 %. Si cet écart rend le dollar américain plus attrayant pour les investisseurs à court terme, il montre également que l’économie canadienne est plus avancée dans sa phase de reprise et plus susceptible de connaître une reprise économique plus rapide. Bien que le Canada ait été l’un des premiers pays touchés par les droits de douane américains, la réalité est que la plupart des exportations canadiennes sont couvertes par l’ALENA et que le taux moyen effectif des droits de douane américains sur les importations en provenance du Canada est resté l’un des plus bas parmi les partenaires commerciaux des États-Unis, à 2,4 %.  Et pour terminer l’accord commercial entre le Canada, les États-Unis et le Mexique doit être révisé, et les discussions devraient être animées. Tout progrès harmonieux pourrait renforcer la confiance dans le dollar canadien. Mais si les négociations s’enlisent, en particulier dans des secteurs sensibles comme l’automobile ou l’agriculture, le dollar canadien pourrait subir de nouvelles pressions. Pour l’instant, les marchés font preuve d’un optimisme prudent : les droits de douane s’assouplissent et les trois pays ont intérêt à éviter des perturbations majeures. INFO FINANCES


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