Par Michel Séguin
La première ministre albertaine Danielle Smith avait raison et a aussitôt exprimé sa joie « SVP arrêtons de jouer le jeu de Donald Trump ! » Qui fait plus rire que peur par des paroles, gestes et actes qui n’aboutissent à rien et qui sont remises à plus tard et à plus tard : 2 février rien ! 2 avril rien ! Actuellement le Canada devra plutôt se concentrer sur son dollar comme à la belle époque de Steven Harper « au pair » qui n’est pas actuellement à la hauteur de la qualité de ses ressources humaines et du pays comparativement au dollar américain, la devise de base pour tout bon Nord-Américain. À – 40% + à l’échange les Canadiens doivent travailler plus pour le même salaire que leurs voisins américains et dépenser plus pour la même chose dans un mode de vie quasi similaire ayant les mêmes objectifs soit voulant améliorer sa qualité de vie surtout à l’âge de la retraite.
Or cela ne peut plus continuer ainsi peu importe le gouvernement qui sera en place lors du prochain suffrage devant des colonnes de chiffres qui en disent longs sur le travail à faire avec tout ce que les Canadiens ont actuellement à payer en produits, services et taxes de toute sorte combiné à un dollar bas qui manque d’égards envers ses citoyens. Or une des missions du prochain gouvernement est de redonner au dollar canadien sa fougue d’antan qu’il mérite devant la piètre performance de son dollar actuel que seuls les hauts gradés d’entreprises et les hauts fonctionnaires peuvent se permettre d’obtenir en ajustant leur salaire canadien au grade du dollar américain à grand coup de bonus et autres avantages sociaux que monsieur et madame tout le monde ne peut faire à en subissant les conséquences en tant que citoyens du Canada surtout lorsque vient le temps de voyager aux États-Unis.